Je passe et je séduis....
Octobre est bien là. C'est lui qui peint la nature d’une infinie variété de couleurs.
Le ciel est pur, le vent du nord faible. Mon chien Rox sort de l’orée du bois avec dans sa gueule la première bécasse de la saison. Elle vient de tomber sous mes plombs après son envol bruyant très caractéristique.
Je la prends, caresse Rox puis l’oiseau.
Les questions classiques reviennent en tête :
D’où viens-tu Scolopax ?
Pourquoi séjournes-tu dans ma contrée ?
Est-ce la première fois que tu t’y arrêtes ?
Pourquoi as-tu choisi ce bois, cette lisière ?
Quand allait-tu repartir et pour quel pays ?
Quel âge as-tu ? Père ou Mère ?
Le ciel est pur, le vent du nord faible. Mon chien Rox sort de l’orée du bois avec dans sa gueule la première bécasse de la saison. Elle vient de tomber sous mes plombs après son envol bruyant très caractéristique.
Je la prends, caresse Rox puis l’oiseau.
Les questions classiques reviennent en tête :
D’où viens-tu Scolopax ?
Pourquoi séjournes-tu dans ma contrée ?
Est-ce la première fois que tu t’y arrêtes ?
Pourquoi as-tu choisi ce bois, cette lisière ?
Quand allait-tu repartir et pour quel pays ?
Quel âge as-tu ? Père ou Mère ?
Certaines de ces questions ont des réponses mais d’autres non. C’est tout ce qui fait l’attrait de cet oiseau.
La migration d’automne.
Octobre et novembre apportent les premiers froids dans les contrées où a séjourné Scolopax durant l’été c’est à dire les pays du Nord-Est comme la Russie, Lithuanie, Ukraine, Slovaquie, Pologne, Scandinavie…
Les jours raccourcissent, le sol gèle, planter son bec devient difficile. Il faut trouver à manger.
Scolopax est habitée d’un désir de survie qui est inscrit dans ses gènes plus exactement dans sa thyroïde qui l’incite à partir vers le sud du vieux continent Europe lorsque la luminosité du jour diminue et lorsqu’un vent du Nord, d’Est ou de Nord-Est se met à souffler. Son instinct migratoire lui permettra de trouver des pays nouveaux ou de retrouver d’anciens pays plus hospitaliers à cette époque.
Scolopax voyagera seule ou accompagnée suivant ses caprices ou ses rencontres.
Scolopax est une femelle de l’année. Ce sera son premier voyage vers des terres plus accueillantes en cette saison. Elle précèdera les jeunes mâles puis suivront les adultes. Ce sont les vieilles femelles qui partiront les dernières et que nous trouverons en fin d’année sur notre territoire sous les grands buis,sous les pins ou près des petits points d'eau quand les gelées persisteront.
Les jours raccourcissent, le sol gèle, planter son bec devient difficile. Il faut trouver à manger.
Scolopax est habitée d’un désir de survie qui est inscrit dans ses gènes plus exactement dans sa thyroïde qui l’incite à partir vers le sud du vieux continent Europe lorsque la luminosité du jour diminue et lorsqu’un vent du Nord, d’Est ou de Nord-Est se met à souffler. Son instinct migratoire lui permettra de trouver des pays nouveaux ou de retrouver d’anciens pays plus hospitaliers à cette époque.
Scolopax voyagera seule ou accompagnée suivant ses caprices ou ses rencontres.
Scolopax est une femelle de l’année. Ce sera son premier voyage vers des terres plus accueillantes en cette saison. Elle précèdera les jeunes mâles puis suivront les adultes. Ce sont les vieilles femelles qui partiront les dernières et que nous trouverons en fin d’année sur notre territoire sous les grands buis,sous les pins ou près des petits points d'eau quand les gelées persisteront.
A suivre…..
